À propos
La Photobiomodulation ou PBM : qu’est-ce que c’est et pour quels usages ?




Issue des travaux de la NASA pour améliorer la cicatrisation des cosmonautes, la photobiomodulation, permet de vous débarrasser rapidement, naturellement, de façon non invasive tout en respectant l’harmonie de votre visage et de vos expressions, des nombreuses problèmatiques cutanées ou capillaires qui vous empoisonnent la vie ou vous complexent.
Sur le visage :
Vous de rides marquées, des sillons naso-géniens, plis d’amertume ou de sévérité, pâtes d’oie, ridules, pores dilatés, vergetures, paupières tombantes qui donnent l’air triste et fatigué, boutons, excès de sébum, cicatrices d’acné, imperfections cutanées, ovale du visage, tâches liées à l’âge et au soleil…
Sur votre corps :
Vous agissez sur le décolleté, l’intérieur des cuisses, des genoux, la face interne des bras, le ventre, les fesses, et toutes les parties du corps concernées par la cellulite, . . . Le Pad 2 en 1 ou le Cosmos masque vous aident à retrouver une peau re-pulpée, plus douce, lumineuse, plus lisse, plus ferme, ...Visiblement réhydratée…
Sur les cheveux et le cuir chevelu :
La lumière, à cette fréquence spécifique aide re-densifier votre chevelure, assainir votre cuir chevelu (états squameux, pellicules, début d’alopécie, chute de cheveux saisonnière ou liée à des prises médicamenteuses, réduire les démangeaisons, ...)
Le principe :
Comme pour la photosynthèse pour les plantes, la lumière pénètre jusqu’à 2,5 cm sous la peau et agit au cœur de vos cellules en stimulant directement vos mitochondries afin de relancer naturellement et instantanément la fabrication, d’élastine, de collagène et d’acide hyaluronique qui vous aident notamment à maintenir une hydratation optimale puisque ce dernier retient 1000 fois son poids en eau. De nombreux autres bienfaits de cette lumière LED rouge spécifique sont tout aussi étonnants. Venez les découvrir... Qu’il s’agisse du Ove mini (version portative et nomade), du masque OVE ou du Cell regen PRO et du OVE PRO, les premiers effets sont visibles (photos avant/après à l’appui) dès la première séance, se renforcent, se confortent et se capitalisent séances après séances avec des résultats naturels, harmonieux et réellement étonnants.
Il était une fois… la lumière !
Depuis l’Antiquité, de nombreuses cultures ont utilisé la lumière et la couleur sous des formes et appellations diverses : héliothérapie , photothérapie, chromothérapie… Les Grecs, les Égyptiens, les Romains, Les Incas, les Assyriens, pour ne citer qu’eux, vénéraient le soleil comme une divinité réputée apporter, entre autres, bien-être et santé. La littérature médicale indienne datant de l'an 1500 avant J.-C. décrit déjà un traitement combinant herbes et lumière naturelle du soleil pour traiter des zones de peau. 200 avant Jésus-Christ, des écrits bouddhistes en Inde et plus tard au 10ème siècle en Chine aboutissent à des conclusions similaires sur les bienfaits de la lumière du jour... donc, du soleil.
Vous l'aurez compris, je vous propose aujourd'hui de plonger dans la fascinante histoire de la lumière et plus particulièrement de vous faire découvrir la photobiomodulation. Dans l'Antiquité, les Egyptiens édifiaient des temples destinés aux soins et à la guérison de nombreux troubles en utilisant la lumière du soleil qui parvenait dans certaines salles en filtrant à travers des cristaux colorés ayant des propriétés et vertus diverses pour la santé. Plus de 500 ans avant la naissance du Christ, Pythagore utilisait également la couleur pour soigner des troubles physiques et psychiques. On retrouve des références à la médecine par les couleurs dans d'anciens textes chinois et indiens. En réalité, pratiquement toutes les grandes civilisations ont reconnu l'influence de la lumière dans la guérison. Les Assyriens, les Babyloniens et les Égyptiens pratiquaient tous des bains de soleil thérapeutiques. La ville grecque d'Héliopolis (Qui signifie littéralement « Ville du soleil »), était réputée pour ses temples de guérison et ses salles de lumière disposant de fenêtres recouvertes de tissus teints tendus à travers lesquelles passait le soleil. Leurs couleurs étaient spécialement choisies pour les pouvoirs de guérison que les prêtres, oracles ou médecins leur reconnaissaient.
Au XIXe siècle, Augustus Pleasanton semble avoir été le premier à utiliser la lumière bleue pour stimuler les glandes sécrétoires et le système nerveux, aboutissant à une efficacité reconnue dans le soulagement des douleurs. Par ailleurs, Edwin Babbitt, publie un ouvrage de référence « Les principes de la lumière et de la couleur » avant de développer son « Chromodisc », un objet permettant de « colorer » la lumière du soleil pour traiter les patients atteints de problèmes dermatologiques et, mettait en évidence les propriétés curatives particulières de l'eau « sensibilisée » à la lumière. Les teintures solaires, encore fabriquées aujourd'hui, sont utilisées dans le cadre de la médecine alternative pratiquée par les colorothérapeutes qui conjuguent alors bienfaits de la lumière et propriétés thérapeutiques des couleurs. En 1850, l’action antibactérienne des ultraviolets est démontrée et, Neils Ryberg Finsen, chercheur danois, est reconnu pour ses recherches dans la thérapie à la lumière rouge et la mise en exergue de cette dernière dans la guérison de la variole et de certaines formes de lupus.
Acné, rides, rougeurs, cellulite, fermeté, cicatrisation, améliorations capillaires... Le champ d’action de la photobiomodulation. Les applications sont nombreuses, bien évidemment, lorsque le matériel possède la fréquence, la puissance et qualité requises. Disponible depuis de nombreuses années dans les cabinets médicaux et services hospitaliers, c’est à la NASA que nous devons l’aboutissement des travaux sur la photobiomodulation, LED rouge notamment.
Comment les spécialistes de la conquête spatiale ont-ils eu l’idée d’initier les recherches sur la lumière LED avant qu’elle ne devienne l’emblématique technologie esthétique dite, douce qu’elle est aujourd’hui ? Tout commence dans les années 60, quand les scientifiques de la NASA découvrent que les plaies cicatrisent difficilement en apesanteur. Dans un premier temps les scientifiques se tournent vers les infrarouges connus depuis longtemps pour leurs propriétés cicatrisantes et anti-inflammatoires. Depuis les premiers brevets déposés en 1965, plus de 30 millions de personnes ont été traitées grâce à cette technique utilisant des lampes dites infrarouges qui émettent en réalité dans un spectre lumineux allant du bleu aux infrarouges proches, incluant le jaune et le rouge. Ces lampes ont démontré au sein des centres de recherche les plus prestigieux, de puissantes propriétés anticancéreuses et anti-oxydantes Près de 60 ans plus tard, nous possédons désormais le recul nécessaire pour attester de l’innocuité et de l’efficacité de cette technique, néanmoins, à l’époque de la conquête spatiale, les LED viennent seulement d’apparaître et les recherches mettent en relief les propriétés biologiques de cette énergie lumineuse sans aucun risque de chaleur excessive et donc, de brûlures.
L’idée qui émerge alors est de faire fonctionner ces LED en mode pulsé avec une succession de flash de quelques millièmes de secondes, pour améliorer de façon considérable l’efficacité des lasers dermatologiques. Grace aux LED rouges il était désormais possible de retrouver toutes les propriétés bénéfiques des « infrarouges » avec, en prime, un effet anti-rides indéniable et visible. Le premier appareil conçu, émettait en lumière jaune. L’étude réalisée à l’époque, montre néanmoins une amélioration de 90% chez les personnes traitées et notamment une action sur la texture cutanée chez 87%. Restait donc à évaluer non pas le pourcentage de sujets répondant favorablement mais d’évaluer et quantifier l’ampleur de la réponse. C’est ce qui a été fait avec une LED émettant en couleur rouge (à 630/635 nanomètres pour être précise). Les résultats mesurés et sur photo sont spectaculaires et se déclinent, selon les sujets entre coup d’éclat durable (avec une sensation indéfinissable de défroissage), un gain en tonicité, fermeté, élasticité, pores affinés, jusqu’à un lissage pérenne des rides et ridules…
Les premiers résultats sont visibles dés les premières séances ce qui est remarquable pour une technique non invasive totalement dénuée de risques. La photomodulation LED rouge a donc une voie toute tracée vers le secteur de l’esthétique non invasive et de fait, on voit apparaître un modèle conçu pour les particuliers ressemblant à une lampe de poche tandis qu’un grand groupe international de cosmétologie conçoit, avec le constructeur du premier appareil, probablement afin de le diffuser dans les instituts de beauté du monde entier. En était-ce fini de la vocation médicale initiale de cette technique ? Eh bien non, loin de là et ce n’est sans doute pas encore terminé : les études ont montré une efficacité intéressante sur l’acné, et d’autres sont en cours sur des maladies cutanées inflammatoires ainsi que pour le domaine ophtalmologique, la dégénérescence maculaire liée à l’âge. Mais l’étude la plus spectaculaire est sans doute celle réalisée sur les suites de radiothérapie pour cancer du sein avec une disparition quasi totale des suites inflammatoires et on mesure l’apport considérable à venir dans les services de radiothérapie. Enfin, dans la dermatologie quotidienne, l’efficacité sur les rosacées, les vergetures, les cicatrices d’acné est largement vérifiée avec l’énorme avantage de pouvoir traiter sans risque les personnes à peau foncée, ce qui n’est pas toujours le cas avec les autres méthodes plus agressives.
Des services des grands brûlés dont on peut ainsi accélérer la cicatrisation, aux cabinets d’ophtalmologie pour la DMLA (entres autres) en passant par la clinique du cheveux pour faciliter la reprise de la pousse après une greffe ou freiner la chute des cheveux, pour en arriver aux cliniques esthétiques et aux cabinets de dermatologie, les applications de cette technologie sont nombreuses dans le milieu médical. Les séances (entre 120 et 250 € en moyenne) doivent se faire en cure d’au moins trois mois pour relancer de façon durable l’activité cellulaire.
La photobiomodulation aujourd’hui : Comment et pourquoi ça marche ? Il y a dix ans, une société Française basée en Normandie déjà spécialisée dans l’éclairage LED propose en France son premier appareil « Home device » pour offrir au grand public un matériel de qualité professionnelle, dans le registre de l’esthétique, de la rejuvénation et du capillaire, un matériel grand public qui mette à la portée de tous la photobiomodulation pour accompagner chacun vers un « bien vieillir » qui permette de préserver sa peau dans des conditions optimales. Pour faire bref, le visage ou la zone du corps à traiter est exposé 2 à 3 fois par semaine à la lumière d’un appareil (Pad ou masque) doté de 10 ou 40 LED qui diffuse la lumière rouge à 630nm et pénètre jusqu’à 2,5cm dans le derme profond. La lumière se transforme en énergie, au cœur de la mitochondrie qui est la chaine respiratoire de la cellule. Cette énergie permet aux cellules de relancer la production de collagène (fermeté), acide hyaluronique (hydratation), élastine (élasticité).
Les résultats sont présents dès la première séance et se pérennisent au gré d’une utilisation régulière (12 mn par zone entre 2 et 3 fois par semaine). La dose de lumière reçue et la puissance confèrent à ces appareils une efficacité qu’aucun autre matériel vendu sur les sites marchands ne peut atteindre à ce jour. En effet, la manne étant juteuse, nombre d’appareils arborant une multitude de LED colorés qui n’auraient jamais du avoir d’autres vocations qu’être des guirlandes de Noël, fleurissent de toutes parts à des prix allant de 9000 à… 12 €. Le spectromètre ne se laissant pas influencer par des arguments commerciaux, les chiffres des analyses réalisés sont sans appel pourront vous être communiqués sur demande pour que le matériel choisi vous permette d’obtenir les meilleurs résultats. (penelope3@orange.fr) Mine de rien, il s’agit d’une petite révolution culturelle qui suscite encore la perplexité de nombreux médecins qui ont du mal à y croire d’autant que le panel d’utilisation allant de la petite ridule aux suites de radiothérapie est tout aussi déconcertant. Il n’en reste pas moins qu’avec des appareils sérieusement mis au point, les résultats sont là et la photomodulation LED n’a pas fini de faire parler d’elle.
A suivre…
